Des formations suivies par le doctorant en dehors de la liste précédente ou en dehors du campus peuvent être validées par l'école doctorale sur accord préalable de l'école doctorale et sur présentation d’un justificatif de présence.
Un volume global d’enseignement d’au moins 90h de cours devra être suivi sur les trois ans de thèse. Ce volume consiste en des cours d’insertion professionnelle, des cours disciplinaires (validés par le responsable du cours), des suivis de cours de langue ou de séminaires (validés par le directeur de thèse). Dans ce dernier cas, ils pourront être validés à hauteur de 30h par an. Au moins 30h devront relever de la professionnalisation (dont les doctoriales) ou des langues.
Pour les doctorants moniteurs, le volume de formation est de 120h, dont la moitié est gérée par les écoles doctorales (60h) et l’autre moitié est dédiée à la pédagogie (60h).
Pour les doctorants CIFRE, dans la mesure où ils sont déjà dans le monde socioéconomique, l’obligation est de 60h sur 3 ans (les 30h de professionnalisation sont déjà satisfaites par ailleurs).
Pour les salariés qui effectuent leur thèse à mi-temps, les obligations sont similaires à celles des CIFRE, soit 60h, mais sur la durée totale de leur thèse.
Pour les doctorants en cotutelle, les obligations précédentes en nombre d’heures s’appliquent au prorata du temps passé en France.
Le doctorant devra indiquer régulièrement sur le logiciel ADUM l’ensemble des formations suivies durant la thèse.
Par ailleurs, les doctorants doivent satisfaire au passage d’un TOEIC blanc pendant leur première année de thèse, s’il n’a pas déjà été obtenu par ailleurs, afin de situer leur niveau en anglais, s’inscrire à une formation si leur niveau est inférieur à 785 et valider, au cours de leur troisième année de thèse un test TOEIC officiel.
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